miércoles, 23 de octubre de 2024

UN REGARD SUR LA PRATIQUE D'UN ÉSOTÉRISME SUPERFICIEL DANS LA FRANC-MAÇONNERIE



Par Iván HERRERA MICHEL

L’ésotérisme dans la Franc-maçonnerie, en tant que quelque chose de voilé ou de difficile à comprendre et à expliquer, se réfère aux compréhensions personnelles que la méthodologie maçonnique, les symboles et les allégories inspirent chez les Francs-maçons. Étant donné qu’il s’agit de quelque chose de subjectif, cela devient un sujet complexe qui tend souvent à donner lieu à des excès de spéculations ou à l’intrusion inappropriée de croyances religieuses ou métaphysiques aussi respectables qu'elles soient, mais qui appartiennent à d'autres institutions. Et bien que ce sujet ait donné lieu à de vifs débats sur ce que serait le véritable et spécifique ésotérisme de la Franc-maçonnerie, dans la réalité, il existe plusieurs interprétations.
Dans tous les cas, l'ésotérisme maçonnique fait référence aux enseignements transmis à travers son ymbolisme et ses cérémonies, et se fonde sur la perception qu’il existe des connaissances, des sentiments et des inspirations que la méthodologie maçonnique facilite pour la construction de ses objectifs moraux et philosophiques. D’autre part, il s'agit de l'influence intellectuelle, morale et éthique que la Franc-maçonnerie exerce et qui est orientée vers une meilleure compréhension philosophique des devoirs que le Franc-maçon a envers lui-même et envers la société en général.
Quand je pense à la Franc-maçonnerie, cette idée originelle me vient toujours à l’esprit, presque romantique (et très idéalisée), d’un groupe de personnes cherchant quelque chose au-delà de l’évidence en matière morale et philosophique. Je sais bien que dans le monde réel, il existe d’autres motivations pour entrer dans une Loge Maçonnique, mais c’est un sujet pour un autre écrit.
La Franc-maçonnerie, dans son essence la plus pure, n’est pas seulement un endroit pour socialiser à travers une série de rituels esthétiques; c’est un système philosophique qui nous invite à devenir meilleurs, moralement et intellectuellement. Par le biais de la connaissance, des symboles et de la réflexion, elle prétend nous pousser à évoluer. Cependant, et je le dis avec une certaine inquiétude, lorsque l’ésotérisme est traité de manière superficielle, l’Ordre court le risque de se dénaturer complètement. Le véritable ésotérisme maçonnique, si nous voulons en parler en termes actuels, est un voyage intérieur, une quête personnelle de sens à travers les symboles, les allégories et les enseignements éthiques que la Franc-maçonnerie nous offre. Mais cette quête, étant profondément subjective, peut facilement dériver en malentendus et en pratiques vides si l’on ne conserve pas un objectif clair.
Je me souviens de la première fois que j'ai observé une cérémonie maçonnique, bien avant mon initiation. J'étais presque un enfant, et c'était une Cérémonie Funèbre dans le cimetière le plus ancien de ma ville. Dès cette époque, j’ai été captivé par le mystère, les gestes et la solennité du rituel. J’ai senti que quelque chose de très sérieux était en jeu, et avec le temps, j’ai appris que le véritable ésotérisme maçonnique va bien au-delà de la simple participation aux cérémonies ou de la mémorisation de quelques signes.
C'est un engagement profond envers le sens derrière chaque symbole. C’est comme si, au lieu de simplement voir la pointe de l’iceberg, on nous demandait de plonger jusqu’au fond pour comprendre l'ampleur de ce qui est caché. Si la Franc-maçonnerie nous apprend quelque chose, c’est que l’important n’est pas ce qui est caché, mais le processus de découverte. L'effort constant pour comprendre le monde et trouver une place constructive en son sein.
Malheureusement, j’ai vu comment beaucoup se contentent de rester en surface, piégés par l’aspect décoratif, ou devenant de simples spectateurs d’un théâtre qui ignore la richesse philosophique et éthique qui se trouve juste sous leurs yeux. Et c’est triste, parce que c’est comme avoir une carte au trésor entre les mains mais s'en servir pour allumer un feu de camp. C’est un risque grave, car lorsque la forme remplace le fond, la Franc-maçonnerie devient un spectacle stérile, une “fanfare maçonnique”, où les titres, les Grades, les charges et les insignes comptent plus que la croissance personnelle et collective.
Combien de fois ai-je rencontré des frères qui semblaient plus préoccupés par leur position dans la hiérarchie que par les enseignements que la Franc-maçonnerie offre ? Plus souvent que je ne voudrais l’admettre. Ce type de mentalité transforme la fraternité en un défilé de vanités qui commence à ressembler à un club de classe moyenne avec des prétentions élitistes, où les titres des charges et des Grades sont tout ce qui compte. Nous risquons de perdre cet héritage si nous permettons que l’ésotérisme moral et philosophique dégénère en superstition et en ritualisme vide qui s’empare de nos loges.
La Franc-maçonnerie a été un refuge pour les penseurs, scientifiques et artistes qui voyaient dans les rituels non seulement une série d’actions, mais aussi des représentations symboliques d'idées philosophiques profondes. Depuis les grands philosophes des Lumières jusqu'aux artistes renommés, tous ont trouvé dans l'Ordre un espace pour débattre, réfléchir et, surtout, apprendre. Mais lorsque l’ésotérisme se réduit à une série de pratiques magiques dénuées de véritable sens, rivalisant avec les systèmes de croyances, la véritable réflexion est oubliée, et l'essence même de la Franc-maçonnerie s'affaiblit. Le résultat, c'est que la Franc-maçonnerie cesse d’être un espace de réflexion et de progrès et devient quelque chose d’irrélevant pour le monde moderne. C’est comme avoir un livre rempli de sagesse entre les mains, mais préférer l’utiliser comme support de lampe.
La véritable Franc-maçonnerie exige plus. Elle exige que nous creusions plus profondément, que nous ne nous contentions pas de ce qui est visible. Parce qu’au bout du compte, ce qui compte vraiment, ce n’est pas le spectacle, mais la connaissance, la vérité, et l’engagement envers notre amélioration personnelle et collective. À la fin de la journée, ce qui importe, ce ne sont pas tant les cérémonies, les Grades ou les charges, mais l'engagement réel envers notre amélioration personnelle et, par conséquent, celle de la société.
Si la Franc-maçonnerie veut rester pertinente au XXIe siècle, elle doit embrasser un ésotérisme fondé sur une réflexion profonde. Car, en fin de compte, ce qui fait de nous de véritables Francs-maçons, ce n’est pas ce que nous montrons au monde, mais ce que nous cultivons en nous-mêmes.
Et c’est une tâche que nous ne pouvons pas abandonner.
              

A LOOK AT THE PRACTICE OF SUPERFICIAL ESOTERICISM IN FREEMASONRY

By Iván Herrera Michel

Esotericism in Freemasonry, as something veiled or difficult to understand and explain, refers to the personal insights that Masonic methodology, symbols, and allegories inspire in Freemasons. Since it is subjective, it becomes a complex topic that often leads to excessive speculation or the improper intrusion of religious or metaphysical beliefs that, while respectable, belong to other institutions. And although the subject has given rise to lively debates about what the true and specific esotericism of Freemasonry might be, in reality, there are several interpretations.

 

In any case, Masonic esotericism refers to the teachings conveyed through its symbolism and ceremonies and is based on the perception that there are insights, feelings, and inspirations facilitated by Masonic methodology in pursuit of its moral and philosophical objectives. Moreover, it relates to how Freemasonry inspires and exerts an intellectual, moral, and ethical influence aimed at guiding the Freemason towards a deeper philosophical understanding of the duties he owes to himself and to society at large. When I think of Freemasonry, I am always reminded of that original, almost romantic (and highly idealized) idea of a group of people seeking something beyond the obvious in moral and philosophical matters. I am aware that, in the real world, there are other motivations for joining a Masonic Lodge, but that is a topic for another discussion.

 

Freemasonry, in its purest essence, is not just a place to socialize through a series of beautiful rituals; it is a philosophical system that invites us to become better, both morally and intellectually. Through knowledge, symbols, and reflection, it pushes us to evolve. However, and I say this with some concern, when esotericism is handled superficially, the Order runs the risk of being completely distorted. True Masonic esotericism, if we are to speak of it in contemporary terms, is an inner journey, a personal quest for meaning through the symbols, allegories, and ethical teachings that Freemasonry provides. But this quest, being profoundly subjective, can easily lead to misunderstandings and empty practices if a clear focus is not maintained.

 

I remember the first time I witnessed a Masonic ceremony, long before my initiation. I was almost a child, and it was a Funeral Ceremony at the oldest cemetery in my city. From that time, I was captivated by the mystery, the gestures, and the solemnity of the ritual. I felt that something very serious was at play, and over time, I learned that true Masonic esotericism goes far beyond participating in ceremonies or memorizing a few signs. It is a deep commitment to the meaning behind each symbol. It is as though, instead of only seeing the tip of the iceberg, we are asked to dive down to the bottom to understand the magnitude of what lies hidden. If Freemasonry teaches us anything, it is that what matters is not what is hidden but the process of discovering it—the constant effort to understand the world and find a constructive place within it.

 

Unfortunately, I have seen how many remain on the surface, trapped in the decorative, or as silent bystanders of a theater that ignores the philosophical and ethical richness that lies right in front of them.

 

And it is sad because it’s like holding a treasure map but using it to start a fire. This is a serious risk because when form replaces substance, Freemasonry becomes a sterile spectacle, a “Masonic show,” where titles, degrees, offices, and regalia matter more than personal and collective growth.

 

How many times have I encountered brothers more concerned with their position in the hierarchy than with the teachings Freemasonry offers? More times than I’d like to admit. This mindset turns the fraternity into a parade of vanities that begins to resemble a middle-class club with elitist pretensions, where titles of offices and degrees are everything. We run the risk of losing this legacy if we allow moral and philosophical esotericism to degenerate into superstition and hollow ritualism that takes over our lodges.

 

Freemasonry has been a refuge for thinkers, scientists, and artists who saw the rituals not just as a set of actions, but as symbolic representations of profound philosophical ideas. From the great Enlightenment figures to renowned artists, they all found in the Order a space for debate, reflection, and, above all, learning. But when esotericism is reduced to a series of magical practices without real meaning, competing with belief systems, true reflection is forgotten, and its very essence is weakened.

 

The result is that Freemasonry ceases to be a space for reflection and progress and becomes irrelevant to the modern world. It’s like holding a book full of wisdom but preferring to use it as a lampstand.

True Freemasonry demands more. It requires us to dig deeper, not to settle for what is visible. Because, at the end of the day, what really matters is not the spectacle, but the knowledge, the truth, and the commitment to our personal and collective improvement. At the end of the day, what matters is not so much the ceremonies, degrees, or offices, but the real commitment to our personal improvement and, consequently, the betterment of society.

 

If Freemasonry is to remain relevant in the 21st century, it must embrace an esotericism based on deep reflection. Because, ultimately, what truly makes us Freemasons is not what we show the world, but what we cultivate within ourselves.

 

And that is the task we cannot abandon.



UNA MIRADA A LA PRÁCTICA DE UN ESOTERISMO SUPERFICIAL EN LA MASONERÍA



Por Iván Herrera Michel


El esoterismo en la Masonería, en tanto que es algo velado o difícil de entender y explicar, se refiere a las comprensiones personales que motiva la metodología Masónica, los símbolos y las alegorías en los Masones. Al ser algo subjetivo se convierte en un tópico complejo que suele dar pie a excesos de especulaciones o a la indebida intromisión en la Orden de creencias religiosas o metafísicas tan respetables como propias de otras instituciones. Y aunque el tema se ha prestado para vivos debates sobre cuál sería el verdadero y específico esoterismo de la Masonería, en la realidad existen varias interpretaciones.
                          
En todo caso, el esoterismo Masónico se refiere a las enseñanzas que transmite su simbolismo y ceremonias, y se fundamenta en la percepción de que hay conocimientos, sentimientos e inspiraciones que facilita la metodología Masónica para la construcción de sus fines morales y filosóficos. Por otra parte, se refiere a que la Masonería inspira y ejerce una influencia intelectual, moral y ética orientada a que el Masón adquiera una mayor comprensión filosófica de los deberes que debe a sí mismo y a la sociedad en general. Cuando pienso en la Masonería, siempre me viene a la mente esa idea original, 
                             
casi romántica (y muy idealizada), de un grupo de personas buscando algo más allá de lo evidente en materia moral y filosófica. Sé que en el mundo real existen otras motivaciones para ingresar a una Logia Masónica, pero ese es un tema para otro escrito.
                      
La Masonería, en su esencia más pura, no es solo un lugar en donde socializar con una serie de rituales bonitos; es un sistema filosófico que nos invita a ser mejores, moral e intelectualmente. A través del conocimiento, los símbolos y la reflexión, pretende empujarnos a evolucionar. Sin embargo, y lo digo con cierta preocupación, cuando el esoterismo se maneja de manera superficial, la Orden corre el riesgo de desvirtuarse por completo. El verdadero esoterismo Masónico, si es que queremos hablar de él en términos actuales, es un viaje interno, una búsqueda personal de sentido a través de los símbolos, las alegorías y las enseñanzas éticas que nos brinda la Masonería. Pero esta búsqueda, al ser profundamente subjetiva, puede fácilmente derivar en malentendidos y prácticas vacías si no se mantiene un enfoque claro.
                          
Recuerdo la primera vez que observe una ceremonia Masónica, mucho antes de mi Iniciación. Era casi niño y fue una Ceremonia de Honras Fúnebres en el Cementerio más antiguo de mi ciudad. Desde esa época me sentí cautivado por el misterio, los gestos y la solemnidad del ritual. Sentí que algo muy serio estaba en juego y con el tiempo, aprendí que el verdadero esoterismo Masónico va mucho más allá de participar en ceremonias o memorizar unos cuantos signos. Es un compromiso profundo con el significado detrás de cada símbolo. Es como si, en lugar de ver solo la punta del iceberg, nos pidieran bucear hasta el fondo para entender la magnitud de lo que está oculto. Si algo nos enseña la Masonería, es que lo importante no es lo que está oculto, sino el proceso de descubrirlo. El esfuerzo constante por entender el mundo y encontrar un lugar constructivo en él.
                     
Lamentablemente, he visto cómo muchos se quedan en la superficie, atrapados en lo decorativo, o condescendientes mudos de un teatro que ignora la riqueza filosófica y ética que está justo frente a sus narices. Y es triste, porque eso es como tener un mapa del tesoro en las manos, pero usarlo para encender una fogata. Este es un riesgo grave, porque cuando la forma reemplaza al fondo, la Masonería se convierte en un espectáculo estéril, en una "farándula Masónica", donde los títulos, los Grados, los cargos y las insignias importan más que el crecimiento personal y colectivo.
                   
¿Cuántas veces me he encontrado con hermanos que parecían más preocupados por su puesto en la jerarquía que por las enseñanzas que la Masonería ofrece? Más de las que me gustaría admitir. Este tipo de mentalidad convierte a la fraternidad en un desfile de vanidades que comienza a parecerse más a un club de clase media, con presunciones elitistas, en donde los títulos de los cargos y Grados lo son todo. Corremos el riesgo de perder ese legado si permitimos que el esoterismo moral y filosófico degenerado en superstición y ritualismo inane se apodere de nuestras logias.
                     
La Masonería ha sido un refugio para pensadores, científicos y artistas que no solo veían los rituales como un conjunto de acciones, sino como representaciones simbólicas de ideas filosóficas profundas.
                    
Desde los grandes ilustrados hasta los artistas renombrados, todos ellos encontraron en la Orden un espacio para debatir, reflexionar y, sobre todo, aprender. Pero cuando el esoterismo se reduce a una serie de prácticas mágicas sin sentido real, que compite con los sistemas de creencias, la verdadera reflexión queda en el olvido, y se debilita su esencia misma. El resultado es que la Masonería deja de ser un espacio de reflexión y progreso para convertirse en algo irrelevante para el mundo moderno. Es como tener un libro lleno de sabiduría en las manos, pero preferir usarlo de soporte para la lámpara.
                       
La verdadera Masonería exige más. Requiere que cavemos más profundo, que no nos conformemos con lo que está a la vista. Porque, al final del día, lo que realmente importa no es el espectáculo, sino el conocimiento, la verdad, y el compromiso con nuestra mejora personal y colectiva. Al final del día, lo que importa no son tanto las ceremonias, los Grados ni los cargos sino el compromiso real con nuestra mejora personal y, por ende, con la mejora de la sociedad.
                  
Si la Masonería ha de tener relevancia en el siglo XXI, debe abrazar un esoterismo que esté basado en la en la reflexión profunda. Porque, en última instancia, lo que nos hace verdaderamente Masones no es lo que mostramos al mundo, sino lo que cultivamos dentro de nosotros.
               
Y esa es la tarea que no podemos abandonar.

lunes, 7 de octubre de 2024

LA TRAGEDIA DE HIRAM ABIF: REFLEXIONES DESDE LA VIDA

Por Iván Herrera Michel
                   
He asistido nuevamente en mi Logia a la Exaltación al Grado de Maestra Masona de una Q:. H:. y, antes de que se me olvide, quiero escribir algunas líneas al respecto. 
                
Hiram Abif es por definición el mártir heroico de la Masonería, y la puesta en escena de su fin trágico la he visto tantas veces que ha terminado por convertírseme en un personaje familiar al que, sacudiéndole un poco el polvo, se me antoja del nivel literario de Edipo y Hamlet, y al que veo con una mirada más humana y filosófica.
                      
Para empezar, pongámonos en los zapatos de Hiram Abif. Tenemos a un profesional muy bien recomendado en el más alto nivel gubernamental al que encargan como Maestro Arquitecto de la construcción del Templo de Salomón, una obra que rivaliza en trascendencia, magnificencia y majestad con la Torre de Babel, con la que es una de las dos más grandes edificaciones del Antiguo Testamento. Y, dicho sea de paso, ambas relacionadas con el poder divino, la gloria humana y las relaciones sociales de poder. Es decir, con el Statu Quo.
                     
Toda marcha bien, hasta que tres subalternos deciden que quieren acceder a su nivel sin hacer el curso. Y claro, a Hiram Abif no le queda más remedio que contestarles con un valiente "no" cargado de ética, y encarnar la resistencia ante la frivolidad y los atajos.
            
Se convierte, entonces, en un defensor de la idea más fundamental de la Masonería (y de la vida en general) y la cosa se pone fea. Los tres subordinados, en lugar de reconsiderar sus decisiones resuelven matarlo. Está claro que Hiram Abif muere en defensa de sus principios, pero también es válido preguntarnos si ¿No son los asesinos muestras visibles de un sistema corrompido que privilegia los beneficios del estatus por encima de los de la preparación?, ya que, al final del día, esa era la ganancia que buscaban.
                     
Hiram Abif, entonces, no es solo un Maestro asesinado. Es la representación del ser humano que cae al recibir golpes injustos, se levanta y sigue firme hasta el final con sus principios. Su lección, tanto en la vida como frente a la muerte, sigue siendo actual: El Masón requiere esfuerzo, estudio, trabajo, perseverancia en la construcción, y, sí, a veces algo de terquedad.
                    
En un tiempo en que parece que todo lo sabremos y conseguiremos con solo deslizar un dedo por una pantalla o hablando con un cercano, la figura de Hiram Abif nos recuerda que avanzar en la construcción de nuestro Templo Interior va mucho más allá de tener acceso a datos, Grados,  cargos y títulos. Frente a la inmediatez contemporánea, y la cultura Prêt-à-porter, es una voz que nos invita a frenar un poco, a aceptar que el camino que importa no es el más corto, y a reconocer que lo que de verdad tiene valor es aquello por lo que nos esforzamos. No lo que obtenemos por otros medios.
                                
Al final, Hiram Abif no es solo una alegoría del pasado. Es un reflejo de nuestras propias vidas, una enseñanza que nos recuerda que el crecimiento se cimienta en la integridad, el trabajo constante y la dedicación. 
                  
En la Masonería y fuera de ella.